Haider
al-Abadi appelle «révolution tribale" de se débarrasser de l '«État
islamique»
Le Premier ministre irakien Haider al-Abadi lundi lors d'une réunion avec le nouveau gouverneur d'Anbar, les principales provinces de l'Irak contrôlée par le "Etat islamique" le plus Onhaúha, à «révolution tribale" dans le visage de l'organisation extrémiste.
Une
déclaration au bureau des médias du Ebadi a souligné que celui-ci «la nécessité
de la révolution tribale de se débarrasser de cet ennemi curieux au sujet de
l'organisme de la société irakienne." Le communiqué ajoute: «La nouvelle
(...) ont confirmé l'importance des populations tribales de la province et à la
libération de leurs zones d'organisations terroristes qui causent des ravages
et tuent à maintenir et à contribuer à abandonner leurs enfants."
Malgré
les frappes aériennes, la coalition internationale dirigée par Washington, a
élargi l'organisation dans la période récente de son contrôle dans la majorité
sunnite d'Anbar, qui partage une longue frontière avec la Syrie, la Jordanie et
l'Arabie saoudite.
L'organisation
est actuellement dominé par la majorité tout au long Anbar, en particulier la
ville de Falloujah (60 km) à l'ouest de Bagdad, et les quartiers de Ramadi, la
capitale provinciale. Le gouvernement irakien tente de gagner les tribus
sunnites et former leurs enfants à se battre organisation dans les domaines de
présence, et d'empêcher le contrôle des zones supplémentaires. Washington a
également souligné à plusieurs reprises le rôle central de ces clans dans sa
stratégie visant à éliminer l'organisation.